[DE] Es ist wichtig, dass möglichst viele Menschen auf die Klimakrise aufmerksam werden und, dass wir an der Demo Viele sind. Daher freuen wir uns riesig über deine Mithilfe bei der Mobilisierung. ❤
Auf dieser Seite findet ihr nun Mobilisierungsmaterial für die Demo im Februar. Ihr könnt die Vorlagen gerne herunterladen und sie bei Bedarf drucken.
Vielen lieben Dank für deine Mithilfe!
[FR] Il est important que le plus grand nombre possible de personnes prennent conscience de la crise climatique et que nous soyons nombreux à participer à la manifestation. C’est pourquoi nous nous réjouissons de ton aide pour la mobilisation. ❤
Sur cette page, tu trouveras du matériel de mobilisation pour la manifestation de février. N’hésite pas à télécharger et à imprimer les éléments si tu le souhaites.
Merci beaucoup pour ton aide!
[EN] It is important that as many people as possible become aware of the climate crisis and that we are many at the demo. Therefore, we are very happy about your help with the mobilization. ❤
On this page you will now find mobilization material for the demo in February. Feel free to download the templates and print them if needed.
Thank you very much for your help!
- Mobinachricht für Chats [DE]
- Message mobile pour chats [FR]
- Flyer/Plakat
- Sticker
- Flyertext in verschiedenen Sprachen
Mobinachricht für Chats [DE]
REVOLUTIONÄRE KLIMADEMO – Samstag, 11.02.2023
15:00 Uhr, De-Wette-Park, Basel
Die Klimakrise ist jetzt und die Verantwortlichen sind hier!
Die Profiteur*innen dieser Krise sitzen auch hier in der Schweiz – in Basel unter anderem Syngenta, Tesla und Credit Suisse.
Wir werden nicht länger tatenlos zusehen, wie unsere Welt durch die Profitgier von Banken und Konzernen in den Abgrund gerissen wird! Die Klimakrise kann nicht im Kapitalismus gelöst werden, denn dieses Wirtschaftssystem ist, was sie verursacht.
Kommenden Samstag nehmen wir uns in Basel deshalb die Strassen. Gemeinsam tragen wir den antikapitalistischen Widerstand in die Zentren dieses zerstörerischen Systems!
Für einen revolutionären Klimakampf!
Organisiert euch in Bezugsgruppen!
Message mobile pour chats [FR]
MANIF RÉVOLUTIONELLE POUR LE CLIMAT – Samedi, 11.02.2023
15:00 Uhr, De-Wette-Park, Bâle
La crise climatique, c’est maintenant et les responsables sont ici!
Les profiteurs* de cette crise se trouvent également ici, en Suisse – à Bâle, entre autres, Syngenta, Tesla et Credit Suisse.
Nous n’allons plus rester les bras croisés alors que notre monde est entraîné dans l’abîme par l’avidité des banques et des multinationales! La crise climatique ne peut pas être résolue par le capitalisme, car c’est ce système économique qui en est la cause.
Samedi prochain, nous prendrons donc les rues de Bâle. Ensemble, nous porterons la résistance anticapitaliste dans les centres de ce système destructeur!
Pour une lutte révolutionnaire contre le climat!
Organisez-vous en groupes de référence!
Flyer/Plakat
Sticker
Flyertext in verschiedenen Sprachen
Flyertext [DE]
Die Bilder von brennenden Wäldern, überschwemmten Dörfern oder vollkommen ausgetrockneten Regionen vermischen sich mit einer weit verbreiteten Hoffnungslosigkeit und Verzweiflung. Die Klimakrise wird immer spürbarer und wir sehen seit Jahren, wie in den Parlamenten grosse Reden geschwungen werden. Verändern aber tut sich nichts. Doch die Klimabewegung sucht zunehmend nach grundlegenden Antworten. Regierungen und Konzerne wissen nicht zu wenig über die Krise, sondern haben schlichtweg kein Interesse an einer Veränderung. Deshalb wächst unsere Wut zu Widerstand.
Die Klimakrise ist das Resultat von sozialen Missverhältnissen, sie hat Verantwortliche und diese sitzen auch in Basel. Zum Beispiel der Konzern Syngenta, der auf der ganzen Welt Agrar-Gifte und gentechnisch verändertes Saatgut verkauft. Er ist verantwortlich für die Zerstörung von Ökosystemen und den Tod von Menschen durch die Folgen der giftigen Pestizide. Er treibt Bäuer*innen in die Abhängigkeit und ist ebenso verantwortlich für die Ermordung von widerständigen Aktivist*innen. Schweizer Banken wie die Credit Suisse beteiligen sich mit Investitionen an Kriegen oder an anderen ausbeuterischen Projekten, wie an Minen und Ölpipelines, welche indigenen Menschen weiter das Land rauben und die Umwelt zerstören.
Mittels Greenwashing versuchen dann viele Konzerne, wie zum Beispiel Tesla, das zunehmende Bewusstsein über die Klimakrise zu nutzen, um ihre, gleichsam durch Ausbeutung von Mensch und Natur, produzierten Waren zu bewerben, ihren Profit zu steigern und die eigene Verantwortung zu leugnen. Die Welt wird zerstört und die Profiteur*innen sitzen auch hier in der Schweiz und werden vom Schweizer Staat gestützt. Akzeptieren wir das nicht länger, sondern tragen wir den Widerstand der internationalen Klimabewegung in das Zentrum dieses ausbeuterischen Systems.
Die Regierenden, die CEOs und die Medien erzählen uns, wir müssten unsere Hoffnung in Abstimmungen, Technologien und den freien Markt setzen. Doch wohin hat uns dieses System geführt? Egal, ob in der Pandemie, in Kriegen, in der Energiekrise oder natürlich in der Klimakrise: Es sind immer die Kapitalist*innen, die Milliarden daran verdienen und die
Lohnabhängigen und insbesondere Menschen im globalen Süden, die dafür bezahlen müssen. Doch überall wächst Widerstand. Überall wehren sich die Menschen gegen diese Zustände. Seien es die Revolutionär*innen in Rojava, die Genoss*innen im Widerstand gegen die Umweltzerstörung auf den Philippinen oder in Chiapas, um nur einige Beispiele zu nennen. Dort liegt unsere Stärke, denn keine Technologie wird die Klimakrise aufhalten, das können
nur die Massen dieser Welt.
Kommt am 11. Februar mit uns in Basel auf die Strasse, besucht im Vorfeld die Veranstaltungen und mobilisiert kräftig mit!
Am 11. Februar gehen wir gemeinsam auf die Strasse, um klar zu machen: Die revolutionäre Klimabewegung ist da, auch in der Schweiz und wir werden nicht länger zusehen, wie die Welt von diesem Wirtschaftssystem in den Abgrund getrieben wird!
Instagram: @jetzt.kaempfen
homepage: https://jetztkaempfen.wordpress.com/
mail: jetzt-kaempfen@riseup.net
Texte du flyer [FR]
Le 11 février, nous descendrons ensemble dans la rue pour le faire savoir : Le mouvement révolutionnaire pour le climat est là, en Suisse aussi, et nous ne resterons pas les bras croisés alors que le monde est poussé vers l’abîme par ce système économique! Les images de forêts en feu, de villages inondés ou de régions totalement asséchées se mêlent à un désespoir et à une détresse largement répandus. La crise climatique se fait de plus en plus sentir et nous assistons depuis des années à de grands discours dans les parlements. Mais rien ne change. Pourtant, le mouvement climatique cherche de plus en plus des réponses fondamentales. Ce n’est pas que les gouvernements et les entreprises n’en savent pas assez sur la crise, mais ils ne sont tout simplement pas intéressés par un changement. C’est pourquoi notre colère grandit en résistance.
Opposons au désespoir une perspective pour laquelle il vaut la peine de se battre. Car les choses ne resteront pas comme elles sont. La crise n’est pas lointaine, elle a lieu maintenant et pousse déjà des millions de personnes en fuite. La crise climatique est le résultat de déséquilibres sociaux, elle a des responsables et ceux-ci sont aussi à Bâle. Par exemple le groupe Syngenta, qui vend des poisons agricoles et des semences génétiquement modifiées dans le monde entier. Elle est responsable de la destruction d’écosystèmes et de la mort de personnes à cause des conséquences des pesticides toxiques. Il pousse les paysans à la dépendance et est également responsable de l’assassinat d’activistes résistant.e.s.
Des banques suisses comme le Crédit Suisse participent par des investissements à des guerres ou à d’autres projets d’exploitation, comme des mines et des oléoducs, qui continuent de voler les terres des populations indigènes et de détruire l’environnement. Par le biais de l’écoblanchiment, de nombreuses entreprises, comme Tesla, tentent de profiter de la prise de conscience croissante de la crise climatique pour promouvoir leurs marchandises produites par l’exploitation de l’homme et de la nature, pour augmenter leurs bénéfices et pour nier leur propre responsabilité. Le monde est détruit et les profiteur.euses se trouvent ici en Suisse et sont soutenu.e.s par l’État suisse. N’acceptons plus cela, mais portons la résistance du mouvement climatique international au cœur de ce système d’exploitation.
Les gouvernants, les CEO et les médias nous disent que nous devons placer nos espoirs dans les votations, les technologies et le libre marché. Mais où ce système nous a-t-il conduit.e.s ? Qu’il s’agisse de pandémie, de guerres, de crise énergétique et bien sûr de crise climatique, ce sont toujours les capitalistes qui engrangent des milliards et les salariés, et en particulier les habitants du Sud de la planète, qui doivent en payer le prix. Mais partout, la résistance grandit. Partout, les gens s’opposent à cette situation. Que ce soit les révolutionnaires du Rojava, les camarades qui résistent à la destruction de l’environnement aux Philippines ou au Chiapas, pour ne citer que quelques exemples. C’est là que réside notre force, car aucune technologie n’arrêtera la crise climatique, seules les masses de ce monde peuvent le faire.
Rejoignez-nous dans la rue le 11 février à Bâle, assistez aux manifestations en amont et mobilisez-vous avec force!
Notre monde, nos luttes – renforçons le mouvement révolutionnaire pour le climat !
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mail: jetzt-kaempfen@riseup.net
Testo de volantino [IT]
Il 11 febbraio scenderemo in piazza insieme per mostrare chiaramente, che il movimento rivoluzionario per il clima è arrivato anche qui in Svizzera, e che non staremo più a guardare mentre il mondo viene spinto in un baratro senza fondo da questo sistema economico! Le immagini di foreste in fiamme, villaggi allagati o regioni completamente inaridite si mescolano a una disperazione ampliamente diffusa. La crisi climatica sta diventando sempre più tangibile e per anni abbiamo assistito a grandi discorsi altisonanti nei parlamenti. Eppure non sta cambiando nulla. Ma il movimento per il clima è sempre più alla ricerca di risposte fondamentali. Il problema non è che i governi e le grandi imprese ne sanno troppo poco della crisi, ma semplicemente che non hanno nessun interesse a cambiare. Ecco perché la nostra rabbia si sta trasformando in resistenza.
La crisi climatica è il risultato di sproporzioni sociali, ha dei responsabili che hanno sede anche a Basilea. Per esempio, l’azienda Syngenta, che vende veleni agricoli e sementi geneticamente modificati in tutto il mondo. È responsabile della distruzione degli ecosistemi e della morte di persone a causa delle conseguenze dei pesticidi tossici. Spinge gli agricoltori alla dipendenza ed è anche responsabile dell’uccisione di attivisti resistenti. Banche svizzere come il Credit Suisse investono in guerre e in altri progetti di sfruttamento, come miniere e oleodotti, che continuano a privare le popolazioni indigene delle loro terre ed a distruggere l’ambiente. Attraverso il greenwashing, molte aziende, come Tesla, cercano di sfruttare la crescente consapevolezza nella popolazione della crisi climatica per promuovere i propri beni, prodotti con lo sfruttamento delle persone e della natura, per aumentare i propri profitti e negare la propria responsabilità. Il mondo viene distrutto e i profittatori sono anche qui in Svizzera e sono sostenuti dallo Stato svizzero. Non accettiamolo più, ma portiamo la resistenza del movimento internazionale per il clima al centro di questo sistema di sfruttamento.
I governi, i CEO e i media ci dicono di riporre la nostra speranza nelle elezioni, nella tecnologia e nel libero mercato. Ma dove ci ha portato questo sistema? Che si tratti di pandemie, guerre, crisi energetiche o, naturalmente, crisi climatiche, sono sempre i capitalisti che guadagnano miliardi e i salariati, soprattutto quelli del Sud del mondo, a doverne pagare le conseguenze.
Ma dappertutto la resistenza sta crescendo. Ovunque le persone si oppongono a queste condizioni. Che si tratti dei rivoluzionari nel Rojava, dei compagni in resistenza contro la distruzione dell’ambiente nelle Filippine o in Chiapas, per citare solo alcuni esempi. È qui che risiede la nostra forza, perché nessuna tecnologia potrà fermare la crisi climatica, solo le masse del mondo potranno farlo.
Unitevi a noi nelle strade di Basilea l’11 febbraio, visitate gli eventi precedenti e contribuite alla mobilizzazione!
Instagram: @jetzt.kaempfen
homepage: https://jetztkaempfen.wordpress.com/
mail: jetzt-kaempfen@riseup.net
Flyertext [EN]
On February 11, we will take to the streets together to make it clear: The revolutionary climate movement is here, also in Switzerland, and we will no longer stand by while the world is driven into the abyss by this economic system! The images of burning forests, flooded villages or completely desiccated regions are mixed with a widespread hopelessness and despair. The climate crisis is becoming more and more tangible, and for years we have been seeing grand speeches being made in parliaments. But nothing is changing. But the climate movement is increasingly looking for fundamental answers. Governments and corporations do not know too little about the crisis, but simply have no interest in change. That’s why our anger is growing into resistance.
The climate crisis is the result of social disproportions, it has culprits and they are also based in Basel. For example, the Syngenta corporation, which sells agricultural poisons and genetically modified seeds all over the world. It is responsible for the destruction of ecosystems and the death of people through the consequences of toxic pesticides. It drives farmers into dependency and is also responsible for the murder of resistant activists. Swiss banks, such as Credit Suisse, invest in wars and other exploitative projects, such as mines and oil pipelines, which continue to rob indigenous people of their land and destroy the environment. By means of greenwashing, many corporations, such as Tesla, try to use the increasing awareness of the climate crisis to promote their goods, which are produced through the exploitation of people and nature, to increase their profits and to deny their own responsibility. The world is being destroyed and the profiteers are also sitting here in Switzerland and are supported by the Swiss state. Let’s not accept this any longer, but let’s carry the resistance of the international climate movement into the center of this exploitative system
Those in power, CEOs, and the media tell us to put our hope in voting, technology, and the free market. But where has this system led us? Whether it’s a pandemic, wars, energy crisis or, of course, the climate crisis, it’s always the capitalists who make billions and it’s the wage earners, especially people in the global South, who pay the price.
But resistance is growing everywhere. People everywhere are fighting back against these conditions. Be it the revolutionaries in Rojava, the comrades resisting environmental destruction in the Philippines or in Chiapas, to name just a few examples. That is where our strength lies, because no technology will stop the climate crisis, only the masses of this world can.
Come with us to the streets of Basel on February 11, visit the events in the run-up and mobilize with us!
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mail: jetzt-kaempfen@riseup.net
Texto de la octavilla [ES]
El 11 de febrero saldremos juntos a la calle para dejar claro: El movimiento revolucionario por el clima está también aquí en Suiza, ¡y ya no nos quedaremos de brazos cruzados mientras este sistema económico lleva al mundo al abismo! Las imágenes de bosques en llamas, pueblos inundados o regiones completamente resecadas se mezclan con una desesperanza y desesperación generalizadas. La crisis climática es cada vez más tangible y desde hace años vemos cómo se pronuncian grandes discursos en los parlamentos. Pero nada cambia. Sin embargo el movimiento climático busca cada vez más respuestas fundamentales. El problema no es que los gobiernos y las empresas sepan demasiado poco sobre la crisis, es que sencillamente no tienen ningún interés en cambiar algo. Por eso nuestra ira se está convirtiendo en resistencia.
La crisis climática es el resultado de desequilibrios sociales y tiene responsables que también están radicados en Basilea. Por ejemplo, la empresa Syngenta, que vende venenos agrícolas y semillas modificadas genéticamente en todo el mundo. Es responsable de la destrucción de ecosistemas y de la muerte de personas por las consecuencias de los pesticidas tóxicos. Lleva a los agricultores a la dependencia y también es responsable del asesinato de activistas resistentes. Bancos suizos como Credit Suisse invierten en guerras y otros proyectos de explotación, como minas y oleoductos, que siguen despojando a los indígenas de sus tierras y destruyendo el medio ambiente. Mediante el Greenwashing, muchas empresas, como Tesla, intentan utilizar la creciente concienciación sobre la crisis climática para promocionar sus bienes, que se producen mediante la explotación de las personas y la naturaleza, para aumentar sus beneficios y negar su propia responsabilidad. El mundo se está destruyendo y los especuladores también están aquí, en Suiza, y cuentan con el apoyo del Estado suizo. No lo aceptemos más, llevemos la resistencia del movimiento climático internacional al centro de este sistema explotador.
Los que están en el poder, los directores generales y los medios de comunicación nos dicen que pongamos nuestra esperanza en elecciones, la tecnología y el libre mercado. Pero, ¿adónde nos ha llevado este sistema? Ya se trate de una pandemia, de guerras, de crisis energéticas o, por supuesto, de la crisis climática, siempre son los capitalistas los que ganan miles de millones y son los asalariados, especialmente los del Sur global, los que tienen que pagar por ello.
Pero la resistencia crece en todas partes. En todas partes la gente resiste a estas condiciones. Ya sean los revolucionarios de Rojava, los compañeros en resistencia contra la destrucción medioambiental en Filipinas o en Chiapas, por citar sólo algunos ejemplos. Ahí es donde reside nuestra fuerza, porque ninguna tecnología detendrá la crisis climática, sólo las masas del mundo pueden hacerlo.
Únete a nosotros en las calles de Basilea el 11 de febrero, visita los actos previos y ¡movilízate!
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Jetzt Kämpfen! 
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